Un journaliste italien qui couvrait les premiers lancements au Cap Canaveral, avait toujours beaucoup de mal pour réserver son billet d’avion et sa chambre d’hôtel à Orlando.
Son prénom et son nom, ou son nom et son prénom : Orlando Orlando.
Un journaliste italien qui couvrait les premiers lancements au Cap Canaveral, avait toujours beaucoup de mal pour réserver son billet d’avion et sa chambre d’hôtel à Orlando.
Son prénom et son nom, ou son nom et son prénom : Orlando Orlando.
Une blague américaine des années soixante…
Les Etats-Unis ont leurs astronautes, les russes leurs cosmonautes, Si Cuba envoyait un Homme dans l’espace ce serait sûrement un Castronaute.
Quelle est la définition d’un « specimen »… Facile, c’est un astronaute italien ! (specimen = spaceman avec l’accent italien !)
Depuis, les européens ont leurs spationautes, et les chinois leurs taïkonautes.
Une personne arrive au Centre Spatial Kennedy pour assister au lancement de nuit d’une navette spatiale. Sur les 135 lancements, 17 ont été effectués de nuit.
A T-zéro la navette décolle, et en quelques secondes le ciel s’illumine, le spectacle est d’une saisissante beauté.
Le lendemain, assis dans l’avion qui le ramène chez lui, encore sous l’émotion, il engage la conversation avec son voisin, pour lui narrer cette expérience inoubliable : « C’était magnifique, grandiose, extraordinaire… »
Puis il demande : « Avez-vous déjà assisté à un lancement de nuit » ?
– « Oui » lui répond son voisin, « mais je n’ai pas pu voir grand chose. »
– « Ah bon ? Pourquoi ? «
– « Je me trouvais dans le module de commande » répond Eugene Cernan.
Eugene Cernan était commandant de la mission Apollo 17, le seul lancement de nuit du programme Apollo. Lorsque la Saturn V a décollé on se serait cru en plein jour affirment les témoins…
Cette histoire est très certainement apocryphe !