Lorsque la famille jouait au Monopoly, c’est Neil Armstrong qui faisait office de banquier la plupart du temps, et, bien que le hasard y joue un rôle important, c’est également lui qui gagnait le plus souvent.
Lorsque son frère Dean, de cinq ans son cadet, voyait qu’il allait perdre, il donnait un bon coup dans le plateau de jeu, faisant valser pions, cartes, billets de banque, maisons et hôtels aux quatre coins de la pièce…
Sans s’énerver le moins du monde, le jeune Neil Armstrong annonçait d’une voix calme : « Bon, le jeu est terminé. »